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Akashi Ellyot - Joueur [Terminée]


Akashi Ellyot
Akashi Ellyot

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Mar 22 Mar - 22:46

AKASHI Ellyot


Masculin27 ansBelgo-japonaisJoueurE
I N F O R M A T I O N S -
Patron du “Maiden’s Smile”, un bar-café-restaurant situé à Tokyo. Ancien combattant de MMA en Belgique. Père adoptif d’une fille de 7 ans.


HistoiredescriptionStatistiques


Je n’arrivais pas à le suivre, il était trop rapide ! Les uns après les autres, ils finissaient en cendres et la chose qui gravait la terreur dans notre chair ne faisait pas le moindre son, ne montrait pas le moindre plaisir, se contentant d’agir méthodiquement, comme si nous éliminer était aussi naturel que respirer. Il en avait déjà tué 9… J’étais le dernier… J’allais mourir…

Si je le pouvais, je vous parlerais de mon enfance et la vie que j’ai mené dans une famille aimante avec deux parents qui ont pris soin de moi et une soeur adorable, je le ferais si je le pouvais. Seulement pas de chance, c’est pas la bonne histoire. Je ne connais rien de mes parents, ni leurs noms ou ce à quoi ils ressemblent. Je sais juste que le 20 décembre 2012, j’étais devant la porte d’un orphelinat, enveloppé dans une couverture et posé dans un berceau avec un simple mot qui me donnait mon nom et mon prénom. Heureusement qu’on m’a rapidement récupéré, c’était une nuit très froide de ce qu’on m’a raconté. C’est ce jour-là que j’ai rejoint le “Foyer des orphelins” et pour tout vous dire, j’y retiens des bonnes comme des mauvaises choses.

Je n’avais pas énormément d’amis là-bas, la faute à mon caractère plutôt calme et au temps passé dans les livres plutôt qu’à sortir dehors. Pas beaucoup d’amis donc, mais pas vraiment d’ennemis non plus, les autres enfants se contentant du minimum d’interaction avec moi : Bonjour, ça va, tu fais quoi, à demain. Tout ça n’était pas forcément dérangeant, mais à plusieurs reprises, j'ai tenté de fuir cet orphelinat. Pour aller où ? Bonne question, je me la pose encore aujourd’hui. En réalité, je ne savais pas où je voulais aller et je pense que je fuyais pour voir si j’allais manquer à quelqu’un et quand je revenais le lendemain matin, je me faisais crier dessus par la dame qui s’occupait de moi, celle qui m’avait trouvé quand j’étais bébé. Elle me criait dessus, tentant de comprendre pourquoi je faisais ça et en même temps, elle pleurait et me prenait dans ses bras, soulagée que rien ne me soit arrivé. C’est dans ces moments-là que j’étais sensible, les rares moments où je me laissais aller et où je me disais que j’avais un endroit où rentrer.

Comme tous les enfants, j’ai fini par entrer à l’école et c’est lors de mon premier jour que je l’ai croisée. Une fille de mon âge, coréo-japonaise du nom de Yon Park. Instantanément, quelque chose à tiquer entre nous et nous sommes rapidement devenus très proches tous les deux. Pause, temps de midi, travaux de groupe, on était toujours fourré ensemble à parler de tout et de rien. Apparemment, la connaître m’avait rendu plus ouvert d’après les gens de l’orphelinat, j’étais plus souriant et vivant, acceptant même des activités extérieures alors que ce n’était pas ce que je préférais. Elle avait une influence positive sur moi et c’était réciproque selon elle, ses parents lui ayant dit qu’elle semblait plus calme et plus posée par moment, elle qui était une véritable pile électrique.

Les années passèrent et nous étions toujours inséparables tous les deux, enchaînant successivement primaire et collège dans le même établissement et visant le même lycée. C’est aussi durant ces années-là que j’ai commencé à être un peu plus sportif et à me lancer dans l’apprentissage de plusieurs sports de combat tandis que Yon se consacrait au basketball. Évidemment, ça ne se passait pas toujours bien, faute au fait que j’étais un enfant d’orphelinat, des “enfants à problèmes” selon certains professeurs que j’ai eu et croisé. Pour éviter les problèmes, je serrais les dents et ne répondais pas à ces remarques désobligeantes, mais mon amie n’était pas comme moi et si j’étais la voix de la raison dans notre relation, elle s’occupait très bien du poste de la rébellion, poste qui me fait enchaîner les heures de colles à ses côtés.

Malheureusement, un incident changea la petite vie que nous menions tous les deux. Au début de notre deuxième année de lycée, alors que nous avions 16 ans, plusieurs rumeurs circulaient comme quoi une fille de notre année avait disparu peu de temps après la rentrée et il était possible que le coupable soit potentiellement un élève, voire un professeur. Le directeur s’occupa de renforcer la sécurité et aucun autre événement de ce genre ne se reproduisit, jusqu’au soir du 16 novembre 2029. J’attendais Yon à la sortie du lycée alors qu’elle avait une entrevue avec notre prof d’informatique quand la voiture du même prof sortit à toute vitesse du parking souterrain avant de prendre la fuite. À ce moment-là, mon corps se mit à bouger tout seul car mon instinct l’avait compris avant moi : c’était lui le coupable.

Ni une, ni deux, je montais sur mon scooter et démarrait à plein gaz pour tenter de le rattraper ou au moins de ne pas le perdre de vue. Heureusement pour moi, je connaissais mieux la ville que lui et quand sa voiture apparut à nouveau dans mon champ de vision, je savais quelle route prendre pour l’intercepter. Ça allait me coûter mon véhicule et quelques fractures, mais je continuais d’appuyer sur l'accélérateur pour finalement arriver le plus vite possible sur la route de ma cible et percuter la voiture assez violemment, coupant ainsi sa route et la faisant s’éclater contre un poteau. Coup de bol, je m’en sortais avec quelques égratignures, me permettant ainsi de me relever pour foncer vers la voiture, vérifier que Yon allait bien avant de sortir le conducteur du véhicule et de…

Je ne me souviens pas bien de cette scène de mon point de vue, j’ai juste un immense sentiment de colère aveugle quand j’y repense. Des coups de poing qui tombent toujours au même endroit, encore et encore, amochant de plus en plus le visage de ce foutu prof, sa peau et mon poing se teintant de rouge, le rouge qui émanait des blessures que j’étais lui en train de lui infliger. Je ne m’arrêtais pas, je ne voulais pas m’arrêter et alors que je levais à nouveau mon poing, quelque chose l’arrêta de tout son poids, quelque chose qui s’était entièrement agrippé à mon bras et qui me suppliait de revenir à la raison en pleurant. Cette voix résonnait dans ma tête, me calmait et me fit pleurer tout en la prenant contre moi. Mon coeur battait tellement vite et tellement fort, j’étais dévoré par la peur, la peur de perdre la personne qui comptait le plus à mes yeux.

Du coup, comment pensez-vous que cette histoire s’est terminée ? Avec le prof arrêté et moi félicité pour mon courage et ma bravoure ? Désolé, mais ce n’est pas la bonne histoire. Bien que le prof fut bien arrêté, il fit d’abord un séjour aux soins intensifs à cause de ce que je lui avais fait et évidemment, une telle scène ne passa pas inaperçue vu que des petits malins s’étaient amusés à filmer ça en live. Toute cette histoire avait beaucoup tournée et si certaines personnes me félicitaient, beaucoup d’autres soulignaient le comportement violent et excessif dont j’avais fait preuve. Tout ça mettait mon orphelinat et le lycée dans une position inconfortable, les obligeant à prendre des décisions drastiques pour s’en sortir. Côté lycée, ce fut un renvoi sans appel, le conseil des parents d’élèves mettant une pression trop grande sur l’établissement et pour l’orphelinat, la directrice réussit à négocier une assignation à résidence de 6 mois ainsi qu’un suivi psychologique de 3 ans au lieu de l’internement en hôpital psychiatrique que certains avaient proposé. Et malgré tout ses problèmes, je n’avais pas de réprimandes particulières, que ça soit de la part du directeur du lycée qui accepta de me mettre en contact avec une de ses connaissances pour avoir des cours à “domicile” ou du personnel de l’orphelinat qui semblait être fier de mes agissements, l’excès de violence mis à part, bien entendu.

Je passais donc la fin de l’année 2029 et presque la moitié de l’année 2030 à mon orphelinat, suivie par une psychologue qui comprit rapidement que l’excès dont j’avais fait preuve n’était pas un signe d’un quelconque déséquilibre psychologique et fit donc raccourcir le suivi sur un an et demi. Ce fut pendant cette période que je me mis à m’intéresser à la cuisine et à la mixologie, intérêt qui était soutenue par la personne qui venait me donner des cours à “domicile” et qui me mit en contact avec un spécialiste dans le milieu, ce dernier acceptant de me prendre en période d’essai pour voir si j’étais bon à quelque chose ou non. C’est ainsi qu’une fois mon assignation levée, je me m’y à travailler dans un restaurant non loin de là où je vivais, le “Rire de l’Ange”, et où je fis mes armes pour devenir le travailleur que je suis aujourd’hui.

Quant à Yon, elle venait me voir quasiment tous les jours pour prendre de mes nouvelles et me parler de ces journées au lycée. Alors que toute cette affaire y avait provoqué une véritable tempête, les choses s’étaient rapidement calmées et les gens n’en parlaient quasiment plus. Ce n’était pas plus mal, je n’avais aucune envie que tout le monde se souvienne de cette histoire et qu’elle se transmette tous les ans à la nouvelle génération. Toutefois, au bout d’un moment, je sentais que la demoiselle me cachait quelque chose et je dû me montrer persuasif pour qu’elle finisse par avouer, me montrer persuasif sous-entendant que je la chatouillais jusqu’à ce qu’elle craque. C’est ainsi qu’elle finit par m’avouer qu’elle s’était trouvé un mec, mais qu’elle avait peur de ma réaction, chose à laquelle je répondis par… des chatouilles. Quelle idiote elle était quand même. De la même manière qu’elle ne voulait que mon bonheur, je ne voulais que le sien et ce fut donc avec une longue séance de torture à base de chatouilles que je lui fis comprendre avant de lui souhaiter d’être heureuse.

À mes 18 ans, je sentis que j’avais subis ce fameux éveil des chasseurs et pour être honnête, j’espérais être un chasseur de bas rang. Pas que je n’aimais pas l’idée de combattre des créatures se trouvant derrière des portails pouvant apparaître n’importe où et m’amener dans des lieux aux apparences et ambiances divers et variées, mais je préférais largement une vie calme à cette vie là. J’avais juste à aller me faire évaluer et quand l’examinatrice me montra le rang E sur un écran, je poussais un soupir de soulagement. Je pouvais donc continuer ma vie tranquille et notamment mon activité en parallèle de mes études en gastronomie et mixologie : les arts martiaux mixtes. Et oui, je n’avais jamais abandonné les sports de combat et les combats de MMA étaient parfait pour avoir des petites rentrées d’argent au cas où. Je faisais donc des matchs de temps en temps, me faisant une petite réputation, mais rien de bien énorme non plus, juste de quoi attirer plus de spectateurs et faire tourner la machine, machine qui tournait très bien pendant environ 2 ans.

Si moi j’étais un rang E, Yon avait eu le privilège d’être une rang C et elle a rapidement montré de quoi elle était capable. En plus de son travail comme chasseuse, qui était devenue son travail officiel assez rapidement, elle venait nous soutenir, son mec et moi, à chacun de nos matchs. Tout semblait aller pour le mieux, mais un soir, alors que je quittais la salle où avaient lieu les matchs, je les remarquais se disputer tous les deux. Au début, je n’y prêtais pas attention, considérant que ça ne me regardait pas, jusqu’au moment où il lui infligea un gros coup de poing qui la fit tomber au sol. À la vue de cette scène, je fonçais pour m’interposer entre eux, cherchant à comprendre ce qui se passait et c’est en voyant ses pupilles dilatées et son odeur de vodka que je comprenais qu’il était totalement bourré. C’est vrai qu’il enchaînait les défaites ces derniers temps, mais je ne savais pas qu’elles l’atteignaient à ce point. Dans son état, impossible de discuter et il commença donc à essayer de me frapper, action à laquelle je me contentais d’esquiver en essayant de le calmer, mais rien n’y faisait, il était trop ivre pour se reprendre… Jusqu’au moment où il sortit un pistolet de sa veste et qu’il le pointa sur Yon.

Trois coups de feu retentirent, du sang commençait à s’échapper et à imbiber les vêtements de la victime. La demoiselle s’approchait de moi, me suppliant de ne pas la laisser tomber et s’occupait tant bien que mal de mes blessures tout en appelant la police. La suite est assez floue de mon côté étant donné que j’avais fini par m’évanouir à un moment donné pour finalement me réveiller dans une chambre d’hôpital où le personnel médical s’était déjà occupé de mes blessures. À mon chevet se trouvait Yon, dormant à moitié sur mon lit. Je ne savais pas combien de temps s’était écoulé, probablement un peu plus d’une journée, et elle avait passé tout ce temps à côté de moi en attendant que je me réveille. Je ne pus m’empêcher de caresser ses cheveux, petit geste qui fut suffisant pour la réveiller, avant qu’elle ne me prenne dans ses bras, soulagée de me voir encore en vie.

Je voyais à son regard qu’elle avait eu peur de me perdre, la même peur que j’avais eu plusieurs années auparavant, et je la pris dans mes bras à mon tour. Nous restâmes ainsi de longues minutes, le temps défilant lentement tandis que le seul son qui parvenait à nos oreilles était celui de nos coeurs battant à l’unisson. Sa respiration s’accélérait légèrement, me faisant m’écarter légèrement pour pouvoir la regarder. Une expression gênée trônait sur son visage tandis que je penchais légèrement la tête, cherchant à comprendre ce qui lui arrivait. Son regard se plongea dans le mien tandis que nous nous rapprochions l’un de l’autre, sans prononcer le moindre mot, nous n’en avions pas besoin pour savoir ce que nous voulions elle et moi. Cette nuit-là fut très froide, une des plus froides de l’année pour le pays, mais pour nous deux, nous n’avions jamais ressenti une telle chaleur.

Cette nuit était une bulle hors du temps pour elle et moi, une nuit qui signifiait notre attachement l’un à l’autre, mais qui n’amena pas notre relation à l’étape d’après. Nous n’en avons jamais reparlée, il n’y avait pas d’intérêt à cela et notre vie put reprendre son cours comme si de rien n’était, elle comme chasseuse à temps plein et moi comme employé dans un restaurant le jour, combattant dans une cage la nuit… Ou tout du moins, c’est ce que je pensais. Un soir, je reçu un appel du père de Yon qui me demanda de rappliquer en vitesse à l’hôpital, sa fille y étant entrée le matin même pour une raison qu’il ne voulait pas me donner au téléphone. Moins de trente minutes plus tard et une quinzaine de feux de signalisation non respectés, j’arrivais devant sa chambre et là, j’entendis ce qui semblait être des pleurs d’un nouveau-né. La porte s’ouvrit et la vue de la demoiselle au visage apaisé et d’un petit être enveloppé dans une couverture qu’elle tenait dans ses bras firent monter les larmes que je tentais de cacher comme je pouvais. Je m’approchais, lançant un regard interrogateur à mon amie qui comprenait la question que je me posais, mais elle répliqua avec un léger rire et un regard qui me disait que cela n’avait pas d’importance avant de me tendre l’enfant, enfant que je pris délicatement dans mes bras et qui cessa de pleurer pour me sourire, me faisant finalement pleurer. La petite Soo venait de naître.

Ça serait beau que je vous dise que la suite de cette histoire, c’est une vie à trois menée par deux amis qui s’occupent d’une petite fille, n’est-ce pas ? Malheureusement, le travail de chasseur n’est pas sans dangers et celui-là, bien que le monde entier le savait risqué, personne n’aurait imaginé qu’une telle défaite nous soit infligée. Mi-Juin 2034, un portail de rang S apparaît en Australie et la guilde de Yon est déployée là-bas. Comme à son habitude, elle partait en mission avec un grand sourire, son arme solidement attachée dans son dos et me faisant promettre d’attendre son retour pour cuisiner notre plat favori à tous les deux. Fin Juin 2034, le raid est un échec, l’Australie est perdue et une petite main interrogatrice se pose sur mon visage, un visage meurtri qui tente de contenir tant bien que mal ma douleur et mes larmes.

Les semaines qui suivirent furent compliquées, je n’étais plus en pleine possession de mes moyens et cela se voyait que ça soit au restaurant ou dans une cage. Durant cette période, j’avais demandé aux parents de Yon de garder Soo, car je n’étais clairement pas en état de m’occuper d’elle, chose qu’ils acceptèrent en insistant sur le fait que je devais prendre tout le temps dont j’avais besoin, car cette petite avait besoin de moi. Chaque jour, je recevais quelques messages pour être tenu informé et elle semblait leur en faire voir de toutes les couleurs, ce qui avait le mérite de me remonter un peu le moral. À cette époque, j’ignorais si j’allais à nouveau être capable de m’occuper correctement d’elle, ne voulant pas lui faire de mal par négligence ou absence de ma part, mais lorsque je finis par enfin avoir de nouveau le courage de venir la voir, elle balaya toutes mes incertitudes avec le même sourire rayonnant qu’elle m’avait fait la première fois que je l’avais vu. Sauvé par la mère, puis par la fille, décidément.

En Octobre 2034, grâce à mon patron et formateur au restaurant, je partais en direction du Japon pour y tenir une succursale, quelque chose de plus petit et donc avec un personnel réduit, de son restaurant. Les premiers mois ne furent pas évidents, notamment avec Soo à gérer, mais à force de travail et avec l’aide de mes collègues, une routine s’installa d’elle-même et une petite popularité finit même par voir le jour. Pendant un peu plus de deux ans, je m’étais occupé de cette succursale et ce fut après le service du réveillon du nouvel an 2037 que j’annonçais à mon patron que je souhaitais démissionner. D’abord surpris, il comprit rapidement mes raisons en voyant une petite fille de presque 4 ans endormie sur la chaise à côté de la mienne et ne tenta pas de me retenir, me souhaitant même bonne chance pour la suite et m’invitant à passer à l’occasion.

Je partais donc de zéro avec une énorme partie de mes économies qui furent englouties dans le rachat et la rénovation d’un bar abandonné depuis plusieurs années. Vu le quartier dans lequel j’étais, je devais réussir à donner sa propre identité à mon établissement pour attirer l’attention des passants et ainsi les faire rentrer. Parti pris qui avait ses risques, mais le bar-café-restaurant “Maiden’s Smile” réussit à attirer la clientèle petit à petit, faisant de lui un lieu où je pouvais voir passer dans la même journée des retraités, des enfants de 10 ans, des hommes d’affaires et des lycéens à la sortie des cours. À force et grâce à la réputation de l’endroit, je pus même embaucher deux employés à mi-temps qui finirent tous les deux par passer en temps plein, preuve que l’affaire marchait bien. Cela me donna le temps que je voulais pour m’occuper au mieux de Soo qui se montra rapidement intéressée par la lecture, le sport et le fait de m’aider les week-end à tenir la boutique.

Tout semblait donc aller pour le mieux et cela nous amène à l’épisode récent d’il y a quelque jours. Comme je vous l’ai dit, je ne suis qu’un rang E et les donjons ne m’ont jamais vraiment passionné pour être honnête. Alors quand je me suis retrouvé à participer pour pallier à l’absence d’un de mes employés qui était tombé malade, je n’étais pas le plus heureux des hommes. Bon, il s’agissait d’un donjon de bas rang et plusieurs rangs D étaient présents, donc normalement, il n’y avait pas à s’inquiéter et pendant toute la durée de notre raid, ce fut le cas. Les monstres tombaient facilement, nous récupérions les matériaux sans le moindre problème, une vraie promenade de santé. Seulement, une fois le boss vaincu, une porte s’ouvrit au fond de la salle de ce dernier, créant une confusion chez la plupart d’entre nous. Le chef désigné interrogea le groupe pour savoir ce que nous voulions faire et tout le monde était d’accord pour y aller, même moi qui avait fini par gagner un peu de confiance avec cette équipe qui roulait pas trop mal. Quelle monumentale erreur…

Une fois la porte passée, une salle ronde avec une flamme au centre fût l’endroit où nous finîmes enfermés, notre entrée se fermant et se scellant par la même occasion. C’est alors que quelque chose émergea de la flamme au centre, trop rapide pour que nous puissions la suivre ne serait-ce que des yeux, et qui finit avec la tête de notre chef dans sa main, la regardant avant de lui souffler dessus, la faisant brûler. La peur venait d’être instillée chez chacun d’entre nous et si les plus courageux fonçaient sur la créature, les autres assistaient à ce massacre à sens unique. Nous revoilà au début de mon histoire, j’étais seul et j’allais mourir. Je levais à peine mes bras pour me mettre en garde que la créature transperça mon torse avec un coup de poing, me faisant lâcher une gerbe de sang. C’était fini…

”Papa, il me faut deux cafés crème et une part de tarte au citron !”

Une fois reçue, je m’occupais de la commande que venait de me donner Soo. C’était étrange, j’étais certain d’être mort et pourtant, j’étais debout, en chair et en os, en train de m’occuper de mon affaire comme je le faisais d’habitude. Enfin, comme d’habitude, ce n’était pas totalement vrai, car depuis ce donjon, je voyais des bulles comme dans un RPG. Est-ce que j’avais eu raison d’appuyer sur ce bouton “Accepter” ? Aucune idée.


Si je vous parle d’un homme aux cheveux rouges et aux yeux d’or, quelle image vous vient en premier ? Normalement, vous me citez un personnage de fiction, soit d’un jeu vidéo, soit d’un manga. Pourtant, je vais bien vous parler de moi. Pour mes yeux, j’ignore pourquoi ils sont ainsi. Probablement une mutation génétique rare, même si je ne peux pas vraiment confirmer vu que je n’ai personne avec qui comparer ça. Pour mes cheveux, c’est pareil, même s’ils n’étaient pas aussi rouges avant mon éveil. Peut-être que l’éveil peut avoir un impact sur le physique de certaines personnes. Ou peut-être que je suis une double anomalie génétique. On ne choisit pas, c’est ainsi. En dehors de ces deux traits bien visibles et particuliers, je suis long d’un mètre quatre-vingt-dix et je dois peser vers les quatre-vingts quinze kilos, que de muscle en revanche, ça aide les sports de combat. Visuellement, les muscles sont tracés, mais ne sont pas saillants ou explosifs, un homme qui s’entretient à minima, rien de plus.

Psychologiquement… J’aurais tendance à dire que je suis quelqu’un de banal. Plutôt calme et posé en général, je ne suis pas du genre à faire la gueule sans pour autant arborer un sourire colgate semblable à ceux de certaines célébrités. Sans être un immense déconneur, je sais profiter de l’ambiance ou la mettre moi-même s’il le faut, ce qui fait que je suis assez sociable, bien plus que dans mon enfance en tout cas. Je peux parler plus ou moins de tout avec tout le monde et dans les discussions plus “enflammées”, je ne cherche pas à imposer ma pensée, mais plutôt à comprendre celle de mon interlocuteur. J’ai une tendance à aimer les choses biens faites et chercherais toujours à donner le meilleur de moi-même, allant même jusqu’à pousser les gens autour de moi pour qu’ils en fassent de même. Évidemment, je sais lire l’ambiance pour savoir quoi faire ou dire et je m’adapte facilement aux personnes en face de moi. J’ai quand même une certaine préférence pour le calme qui permet d’être posé et de réfléchir tranquillement. Bref, un mec banal.


Affinité élémentaire : Feu
Répartition de points :
Vitalité : 10 (F)
Vigueur : 5 (F)
Force : 10 (F)
Constitution : 4 (F)
Agilité : 8 (F)
Intelligence : 1 (F)
Volonté : 5 (F)
Sagesse : 1 (F)
Perception : 1 (F)






la

guilde : inconnu
render 150*200 (mssage) : Akashi Ellyot - Joueur [Terminée] 7581b7116b0ddd125627
Vie Vie : inconnu
Vig Vig : inconnu
Frc Frc : 30
Agi Agi : 30
Int Int : 1
Sag Sag : inconnu
Cnt Cnt : 5
Vol Vol : 5
Prc Prc : inconnu

The rule
SSS
SSS
The rule

https://huntersfate.forumactif.com/
https://huntersfate.forumactif.com/
https://huntersfate.forumactif.com/
Jeu 24 Mar - 15:17

les indépendants
gg et bienvenue petit padawan


!


GG pour ta validation et bienvenue chez les indépendants. Une fiche bien plaisante à lire, avec une grande plongée dans le passé de ton personnage. C'était cool de suivre l'évolution de ton personnage depuis son plus jeune âge, jusqu'au moment fatidique de sa transformation en joueur. A voir si le barman réussit à vivre une vie paisible, ou bien si le système en aura décidé autrement.



informations de départ



En tant que joueur tu commences l'aventure au Niveau 1. Tu as également obtenu une petite bourse de cuir qui contenait 400 CC, et que tu pourras garder précieusement... ou tout dépenser dans les boutiques selon des désirs et tes besoins.

Tu profites également tu bonus de préouverture, soit 200 CC, Une rune gratuite aléatoire & Une personnalisation de rune offerte !

découvrir mes statistiques de base
NOM ET PRENOM - Akashi Ellyot

RANG OU NIVEAU - 1

AFFINITÉ - Feu









VITALITÉ - F VIGUEUR - F
FORCE - F AGILITÉ - F
INTELLIGENCE - FSAGESSE - F
CONSTITUTION - FVOLONTÉ - F
PERCEPTION - F






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guilde : PNJ
render 150*200 (mssage) : Akashi Ellyot - Joueur [Terminée] 0199bb59185c15e59591
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