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Edel Weiss


Edel Weiss
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Lun 28 Mar - 23:48

Edel Weiss
Le poids des responsabilités


HOMME26 ANSGERMANO-SUÉDOISJOUEURE
I N F O R M A T I O N S -
Ainé de la fratrie Weiss, il fréquente les donjons depuis plusieurs années. De bonne naissance, il n'est devenu chasseur à 19 ans que pour donner sens à un quotidien trop morne et suivre son père. Aujourd'hui, il le reste pour veiller ses cadets depuis les premières loges.


HistoiredescriptionStatistiques

Afin de vous faire de votre lecture une expérience agréable, moi, Edel Weiss, vous conterait le passé de notre famille.

L’histoire de notre famille, ou du moins le moment où elle devint intéressante, prend ses racines 30 ans en arrière, en Suède. Amanda Lindgren était alors âgée de 16 années, voyageant avec ses parents au travers des grandes capitales de l’Europe. Ce fut au retour d’une expédition à Berlin, quand dans sa chambre, elle déballa ses affaires, sitôt arrivée. Dans la poche du grand manteau noir qu’elle portait en déambulant dans les grandes rues, la veille, elle trouva un bout de papier, dix chiffres inscrits, signé d’un nom qu’elle ne connaissait pas encore. Viktor Weiss.

Viktor, lui, avait 18 ans à ce moment-là. Berlinois de naissance et jusqu’à l’âge de la majorité, il n’avait jamais vraiment quitté sa ville natale. Serveur dans un petit bar à temps partiel, jamais il ne fut plus heureux, à y repenser, de travailler un dimanche après-midi que celui-là même, durant lequel une femme à la chevelure blonde comme les blés prit place à une table. De grande taille, le corps sculpté comme celui d’une déesse grecque, la jouvence s’épanouissait sur ses traits telle une grâce divine. Au moindre de ses sourires, ce fut comme si l’univers entier concentrait tout son amour, toute sa beauté sur le minois de l’adolescente. Comme si son regard pétillait d’une énergie que l’on connaît tous, au moins de nom : la joie de vivre. Ce furent et sont encore les termes de Viktor aujourd’hui, lorsqu’il décrit cette scène avec des étoiles dans les yeux. Mais nous divergeons. Ce jour-là, Viktor sut qu’il était tombé amoureux, courageux de nature, il griffonna sur un bout de papier son numéro de téléphone et le glissa discrètement dans la poche d’Amanda, lorsqu’il apporta sa commande. Son père prit un café latte, sa mère, un café noir sans sucre. Elle, elle prit un cappuccino. Depuis ce jour, il ne but que ça, lui aussi. Il avait associé ce précieux souvenir à l’arôme torréfié des grains et à la douceur de la mousse de lait.

Amanda ne connaissait rien de ce Viktor. Elle ne mit un visage sur ce nom que deux jours plus tard, en se rappelant du clin d’œil que lui fit le serveur roux après lui avoir servi un des meilleurs cafés qu’elle n’ait jamais bu. Il va sans dire que c’est grâce à ce goût riche, cette texture parfaite, qu’elle avait su apprécier et pleinement se remémorer cet instant. Ca et par extension, le sourire du jeune Berlinois.

Il attendit plusieurs jours, rythmé par une impatience à mesure pressante d’avoir de ses nouvelles – s’il devait en avoir. Chaque jour, il redoubla d’effort sur son lieu de travail. Chaque jour, il faisait deux fois plus de répétitions lors de ses entraînements. Pourquoi ? Car l’activité physique lui vidait la tête, lui permettait de ne pas tomber amoureux trop vite. Pour une demoiselle qu’il ne vit qu’une fois, il se posa parfois des questions. Était-il devenu fou ? Était-il rendu totalement dépourvu de bon sens, de rationalité ? Lorsque ces questions le frappèrent, il tripla les répétitions. Après dix-huit jours, il reçut un appel d’un numéro inconnu et décrocha.

Était-elle folle ? Ou proprement inconsciente ? Amanda n’en savait rien. C’était et elle est encore pourtant une femme réfléchie. De nature cartésienne, ne s’accorde de fantaisies que dans les passions artistiques et selon, très souvent, des codes qu’elle prend soin d’apprendre sur le bout des doigts. Pourtant, un soir en revenant du lycée, elle décida d’appeler. Non pas par attrait, ni par flirt. Plutôt pour dire à cet idiot qu’il avait fait quelque chose d’irresponsable. On ne donne pas son numéro à une demoiselle qui ne parle même pas la langue, sans même la connaître et seulement parce qu’on l’a trouvée séduisante. Belle, mais ne s’en vantait pas, loin de là. C’était plutôt là une pensée acquise, une confiance en soi dépourvue de zèle. Une modération qu’elle se veut juste et impartiale. Envers elle. Envers tous les autres. Elle avait épousseté son dictionnaire d’anglais, avait noté quelques mots clés en allemand pour lui faire parvenir ses idées. Elle n’était pas une bilingue de nature, tout au mieux une élève studieuse. Et ainsi elle composa son numéro, prit une grande inspiration et s’apprêta à lui passer un savon.

Il entama la discussion, d’un « Hallo » précautionneux, dans le doute où ses espoirs d’entendre le bel accent Suédois furent trahis. Son cœur s’affola lorsqu’une voix de jeune impératrice lui répondit. « Hello, Viktor Weiss ». Son accent bien présent, il ne douta pas un instant de la personne qu’il eut à l’autre bout du fil, se rendit compte qu’il n’avait rien prévu de ce qu’il souhaitait lui dire. Alors il improvisa, car il fut expert pour s’en tirer avec des sourires, des boutades et un peu d’audace à la volée. Il confirma son identité en lui demandant si elle était la « belle demoiselle blonde du bar », elle répondit à l’affirmative, demandant à son tour s’il était ce « curieux rouquin qui lui avait servi son cappuccino ». Il la corrigea, « ce n’était pas qu’un cappuccino, il y avait bien plus que ça ».

Elle ne comprit pas, mais ne le reprit pas non plus. Par crainte de mal avoir interprété le sujet trivial, qui serait bientôt écarté de la discussion. Par crainte de perdre le fil de ses pensées, quant à la tirade qu’elle avait soigneusement élaboré en amont pour apprendre à cet homme plus âgé une bonne leçon. Cependant, à chaque échange, la bonne humeur de la personne l’apaisa. Petit à petit, elle révisa son discours pour le faire moins cinglant, à mesure qu’il divaguait, partait en rêveries, en rires spontanés. Après seulement cinq minutes, elle abandonna l’idée. Ce garçon était un idiot fini, mais un bon idiot. Une personne dont la joie de vivre fit écho à la sienne. A la fin de leur conversation, elle lui dit quelque chose comme « ce n’est pas mon numéro de téléphone ». Confus, il lui demanda de répéter. Plutôt que cela, elle énuméra une série de dix chiffres, une seule et unique fois, avant de raccrocher, le cœur battant à tout rompre. Ce jour-là, pour la première fois de sa vie, elle tomba amoureuse.

Une année et demi plus tard, ils se revirent et tombèrent dans les bras l’un de l’autre. Deux ans après, ils se marièrent et eurent leur premier enfant, un garçon qu’ils baptisèrent Edel.

Je fus de bonne naissance, tant par mon poids de 3.562 kilos, que par mon futur statut social. Mère, à cette époque, se faisait déjà une place dans le monde du cosmétique. Père quant à lui, fit l’obtention du bar dans lequel il rencontra sa femme, les affaires y furent prospères, tant pour lui que pour elle, garantissant ainsi un futur où la lignée Weiss ne manquerait de rien.

J’étais âgé de moins de douze ans, lorsque l’éveil, les donjons, furent sur toutes les bouches. Au départ, l’affaire avait inquiété la clientèle du bar et créé une micro-crise économique, qui après six mois de tracas quotidiens, poussa Père à revendre l’affaire par précaution, tant que le fond était encore valorisé par son emplacement adéquat en centre-ville. Comme un signe du destin, il subit l’éveil deux mois après. Iris, la plus jeune sœur de la fratrie Weiss, avait quatre ans à cette époque.

La nouvelle fut accueillie avec quelques réserves par Amanda, qui connaissait le caractère audacieux de son mari. Malgré quoi, elle ne put le retenir longtemps et pendant deux années, il s’absenta périodiquement de la maison, partant mener des expéditions aux quatre coins de l’Europe. Ce qui ne manquait pas de l’inquiéter. Elle-même escalada les échelons de sa société jusqu’à pouvoir la reprendre en main, se démarquant par son esprit critique et aiguisé, y voyant-là une manière de palier à deux problématiques.
- Le premier financier, car son salaire devenu exorbitant, elle pu subvenir à elle seule aux besoins de sa famille et bien plus.
- Le second étant, devant s’absenter régulièrement et pour des durées parfois prolongées, elle força le retrait de Viktor depuis le front pour qu’il reprenne les rennes de l’arborescence Weiss.
Un plan parfait, qu’elle concocta avec patience et amour, un brin de malice qui n’avait pour rien au monde contrarié son mari. Au contraire, ils coupèrent la poire en deux, permettant au chasseur retraité de poursuivre sa nouvelle passion, en rejoignant l’administration de la Guilde des Chasseurs à Tokyo. Nous le suivions donc dans un pays étranger, au contact de nouvelles mœurs, d’une société changée où il fut nécessaire d’en apprendre tant la langue que les codes. Sa vie n’était plus mise en péril quotidiennement, mais il était libre de garder son lien avec ce monde nouveau qui l’avait captivé.

Il prit donc, au fil des années, plaisir à se remémorer et raconter ses aventures à sa descendance, à les fasciner de moult péripéties et dangers, devint également mon héro par cette même occasion. Père avait sauvé le monde, à sa propre manière.

C’est ainsi que, tout naturellement, après avoir subi mon éveil à 19 ans, je m’enrôlais en tant que chasseur débutant. Non pas le plus puissant, très loin de là. Simplement un modeste guerrier, versé dans l’offensive et la traque, pour lesquels mon corps avait été façonné au fil de nombreux entraînements dispensé par les bons conseils de père. Mère, au départ inquiète, se rassura avec le taux de mortalité dégressif dans les Donjons, avec la mise en place d’instituts et d’un encadrement quasi-permanent aux entrées et sorties d’expédition. Elle ne put s’y opposer et s’assura d’assurer notre prospérité en poursuivant ses affaires, dans lesquelles elle versa fervemment.

Père étant régulièrement absorbé par son travail, j’eus endossé, depuis la découverte des donjons, le rôle de second tuteur pour mes cadets, jonglant dès lors mon éveil entre deux vies drastiquement différentes. Je ne pus progresser énormément, bien malgré moi. Mon corps avait ses limites, mon agenda également. Jusqu’à ce qu’Iris atteigne la majorité, je ne trouvais que peu de repos. Et ça n’allait pas en s’améliorant.

Tous deux eurent droit à l’éveil et s’entichèrent du métier de chasseur, ce qui me permit de ressentir la crainte de mes parents lorsque je pris cette même décision. Et j’eus beau tenter de les dissuader, allant même jusqu’à les mettre à l’épreuve, que leur détermination eut bientôt raison de mes ressources. Ils devinrent chasseur à une condition que je leur imposait, celle de participer à une exploration avec moi, durant laquelle ils devront me prêter une confiance absolue, afin qu’ils voient de leurs propres yeux ce qui les attendait. Ce fut-là ma pire erreur, celle qui bouleversa nos vies irrémédiablement.

Ce fut un donjon de bas niveau que je sélectionnais moi-même, proche de la banlieue de Mito, dans la préfecture d’Ibaraki. Un donjon sans risque, à première vue, car tout le monde s’y rendait, l’air las, ou laxiste. Pour la première fois, le comportement de mes partenaires m’irrita, car nous misions potentiellement la vie de mon frère, de ma sœur. Au détour d’une galerie aux piliers de pierre brute, un passage immense se dégageait, annonciateur d’une envergure bien plus grande qu’estimée par les examinateurs. L’avis général fut de ne pas s’en soucier outre mesure, de poursuivre et maximiser les gains. Ce fut la première faute d’une longue série. Après plusieurs minutes de marche, nous tombions dans une embuscade, coûtant la vie au chef de file, qui s’écroula avec une flèche fichée dans la gorge. Panique générale, retraite engagée, trois têtes tombent en fonçant droit dans un piège tendu. Les six derniers membres, dont la moitié restait sous mes directives, se retrouva acculée, nous pûmes ainsi constater l’effroyable massacre qui se déroula, alors que ne restaient pour la fin que mes deux protégés. Une créature mage avait décimé ses proies avec un pilier lumineux, ne laissant pas même des cendres de ses victimes. Lorsqu’elle incanta en direction de notre groupe, j’entrepris une charge furieuse, à l’aveugle, avec pour seule volonté de gagner au maximum de temps à mes êtres aimés. Une flèche fila et transperça mon œil droit, m’arrêtant net. A mes pieds, un cercle blanc se dessina, m’encercla, je lance un dernier regard derrière moi et ...

Blackout.

Je ne saurais dire combien de temps s’est écoulé, le résultat final de cette rencontre. Ou plutôt, son résultat concret. Il y avait une fenêtre, comme celle de ces RPG populaires, qui apparut devant moi, proposant un ultimatum.

« Vous avez gagné le droit de devenir un joueur. Voulez-vous accepter ? »
« Si vous refusez, votre cœur s’arrêtera de battre imminemment. Voulez-vous accepter ? »

Un mètre 92, 85 kilos, de stature élancée, comme bon nombre de chasseurs. Edel a hérité de sa mère sa chevelure d’un blond pur, une élégante pluie d’or qui couvre ses yeux bleus. Ils n’ont rien de spéciaux, ou n’avaient rien jusqu’au dernier incident. Son œil droit, ou plus précisément sa cornée, a été entamée par un mauvais coup, laissant une cicatrice sur ses paupières ainsi qu’une iris blessée, plus pâle de quelques degrés par rapport à sa jumelle. En résulte une forte sensibilité aux lumières vives ainsi qu’une entame sur la capacité de cet œil, ce pourquoi en extérieur, il la protège derrière un cache-œil. Un nez droit, l’arcade des sourcils marquée par sa manie de les froncer lorsqu’il se concentre, des pommettes timidement affirmées, une mâchoire prononcée trace le contour d’un visage anguleux. Aucun tatouage ni piercing, pas de bijoux particuliers, généralement, il aime s’habiller des tenues les plus simples, tout en préservant un brin de sobriété.

Il hérita, de son père, une certaine manie. Celle d’apporter du soin à son image. Ayant bien assez vite compris que dans le métier qu’il exerce, il arrive de devoir mettre sa vie entre les mains d’autrui, il veut s’assurer une parfaite coopération de ceux avec qui il partira à l’aventure. Et ça passe avant tout en dégageant une image assurée, rassurante pour une majorité qui baseront la majeure portion de leur jugement sur les critères d’apparence. Bien que cette affirmation ne soit pas à l’épreuve des comportements parfois changeant de l’être humain, ni à la déviance de certains esprits atypiques.

En parlant d’atypie, Edel en fait un exemple tout apprêté. Sortant du lot avec son œil dissimulé, son image s’en est trouvée affectée, ce qui l’eut navré les premiers jours, au-delà du traumatisme initial. Mais bien vite, il s’en fit une raison, un prétexte pour développer une certaine originalité. La versatilité de ses états d’esprit, allant de pair avec les divers milieux qu’il fréquente, mêlée à un caractère plutôt introverti de nature, en font un individu peu loquace aux premiers abords, puis très expressif lorsque l’on s’attire ses grâces. Couronné d’un rôle de premier enfant et grand frère exemplaire, il sait mettre de côté ses réserves pour exposer ses idées, mettre en garde ou tout bonnement confronter autrui, lorsque la situation l’impose. Il possède également un point faible, c’est l’humour absurde. Derrière sa carapace, il est actuellement friand – lorsqu’il est en confiance et de bonne humeur, cela va de soi – de petites boutades tirées par les cheveux, de blagues à un sou, de satire bienveillante. Ainsi il surprendra, ce jeune homme, à rire franchement, aux éclats, pour des situations que d’autres trouveront peut-être ridicule. Bien vite il se ressaisira, écartera l’évènement, le sourire aux lèvres, y repensera et occasionnellement, repartira dans un fou rire. C’est d’autant plus vrai avec sa famille qu’il affectionne plus que tout, avec les tirades parodiques de son père, les maladresses de sa sœur, les embrouilles mineures avec son frère.

Parlons donc de sa relation à sa fratrie. Ayant endossé très tôt le rôle de responsable de la maison, aux alentours de son douzième anniversaire, il est devenu quelqu’un de responsable et solidaire. Son empathie, parfois mal dissimulée, lui donne un côté impulsif qu’il s’évertue à corriger. Il lui arrive encore malgré tout de “déborder”, tout simplement, lorsque son émotion est trop forte. Ces élans d’attention maladroite furent bien reçu par sa cadette, alors qu’elle n’avait que cinq ans et ce jusqu’à aujourd’hui. De même pour son cadet, jusqu’au début de l’adolescence, âge approximatif auquel Edel, lui, fut considéré adulte. De là, il ne put se montrer protecteur qu’avec sa sœur, car son puîné développa une personnalité rebelle, allant difficilement de pair avec ses instincts fraternels. La relation qu’ils partageaient en pâti légèrement, ce jusqu’à ce que le second enfant atteigne ses 18 ans et fut enfin considéré comme un adulte par son ainé. Alors, ils se découvrirent une certaine complicité lorsque leurs causes furent ralliées, connaissant finalement l’autre sur le bout des doigts. Créant également d’autant plus d’étincelles en cas de désaccord.

Enfin, ces liens de gardiens furent un frein à l’acceptation que son sang devienne lui aussi chasseur, suivant le père et l’ainé dans un monde dangereux, éloigné du quotidien paisible que s’offre encore la population, malgré la menace des Donjons. Il n’eut cependant pas le choix que d’accepter leur choix et plutôt que de les en empêcher, il se jura de se porter garant de leur sécurité, autant que possible. Une promesse reformulée, plus fervemment encore, après avoir essuyé cet incident qui de peu, manqua de le priver d’un œil.

Classe (si chasseur) : XXXX
Affinité élémentaire : Feu

vitalité : 5
vigueur : 10
force : 7
agilité : 8
intelligence : 1
sagesse : 1
constitution : 3
volonté : 2
perception : 8






la

guilde : indépendant
render 150*200 (mssage) : Edel Weiss CvwWbKa
Vie Vie : inconnu
Vig Vig : inconnu
Frc Frc : 110
Agi Agi : 55
Int Int : 1
Sag Sag : inconnu
Cnt Cnt : 5
Vol Vol : 3
Prc Prc : inconnu

The rule
SSS
SSS
The rule

https://huntersfate.forumactif.com/
https://huntersfate.forumactif.com/
https://huntersfate.forumactif.com/
Mar 29 Mar - 14:35

Quelques points bloquants
A modifier pour ta validation


!


Hello ! Il y a un point qu'il faudrait modifier / discuter avant la validation de ta fiche :

-Si le cas de plusieurs joueurs provenant du même donjon ne s'était pas présenté à nous jusqu'à maintenant, le point qui est bloquant dans l'immédiat correspond à ce troisième frère. Le problème étant que nous n'acceptons pas les PNJs joueurs (ce rôle étant exclusif aux membres), et que toutes les personnes dans l'annexe du donjon en question meurent (à l'exception des joueurs qui obtiennent ce nouveau statut). Dans l'immédiat, cela signifierait que ce troisième frère serait mort dans le donjon. Si c'est ton intention, il faudrait le préciser à la suite de l'histoire pour que cela soit clair, autrement, modifier en conséquence.








la

guilde : PNJ
render 150*200 (mssage) : Edel Weiss 0199bb59185c15e59591
Vie Vie : inconnu
Vig Vig : inconnu
Frc Frc : inconnu
Agi Agi : inconnu
Int Int : inconnu
Sag Sag : inconnu
Cnt Cnt : inconnu
Vol Vol : inconnu
Prc Prc : inconnu

The rule
SSS
SSS
The rule

https://huntersfate.forumactif.com/
https://huntersfate.forumactif.com/
https://huntersfate.forumactif.com/
Mar 29 Mar - 14:55

les indépendants
gg et bienvenue petit padawan


!


GG pour ta validation et bienvenue chez les indépendants. L'histoire écrite dans ta fiche est principalement concentrée sur les parents de ton personnage. Cependant, cela pose bien les bases, son lien avec sa famille, son modèle et son rôle d'ainé. Un personnage qui se découvre agréablement !



informations de départ



En tant que joueur, tu commences l'aventure au Niveau 1. Tu as également obtenu une petite bourse de cuir qui contenait 400 CC, et que tu pourras garder précieusement... ou tout dépenser dans les boutiques selon des désirs et tes besoins.

Tu profites également tu bonus de préouverture, soit 200 CC, Une rune gratuite aléatoire & Une personnalisation de rune offerte !

découvrir mes statistiques de base
NOM ET PRENOM - Edel Weiss

NIVEAU - 1

AFFINITÉ - Feu









VITALITÉ - 5 F VIGUEUR - 8 F
FORCE - 7 F AGILITÉ - 8 F
INTELLIGENCE - 1 FSAGESSE - 1 F
CONSTITUTION - 3 FVOLONTÉ - 2 F
PERCEPTION - 8 F






Guide Boutiques Carnets de bord Demandes RP Fiches techniques Listing des avatars








la

guilde : PNJ
render 150*200 (mssage) : Edel Weiss 0199bb59185c15e59591
Vie Vie : inconnu
Vig Vig : inconnu
Frc Frc : inconnu
Agi Agi : inconnu
Int Int : inconnu
Sag Sag : inconnu
Cnt Cnt : inconnu
Vol Vol : inconnu
Prc Prc : inconnu

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